Sucre de palme, d’agave, le rapadura et la stévia font leur apparition dans nos placards
Le sucre fait sa révolution, vive les nouveaux sucres !
Le sucre de palme s’extrait des grappes de fleurs du palmier à sucre.Le jus est ensuite cuit et transformé en sirop. On le trouve dans le commerce sous forme de poudre le plus généralement.
Son inconvénient: il est aussi calorique que son homologue classique.
Du coup, pour celles qui entament un régime, la solution c’est la stévia.
On en voit partout au supermarché: en carré, en poudre, en sucrette, dans les sodas… Cette plante d’Amérique du Sud a un pouvoir sucrant 300 fois supérieur au sucre ordinaire. Son défaut: un léger goût de réglisse.
Le sucre d’agave provient, lui, du cactus mexicain. Son indice glycémique est faible dû à une forte teneur en fructose. Son moins: le prix. 20 euros le litre, c’est pas donné.
Le rapadura peut être aussi une alternative. C’est le jus extrait de la canne à sucre qui est séché puis broyé. Il a un goût de caramel et est naturellement riche en oligo-élément.
Son désavantage: il a tendance à s’agglomérer à cause de l’humidité.